UNE PASSANTE
La rue assourdissante autour de moi hurlait
(...)
Un éclair...puis la nuit! ; fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement remaitre
Ne te verrai-je plus que dans l' eternitté?
(...)
Ô toi que j' esse aiméee, ô toi que le savais!
trecho do soneto de Charles Baudelaire (1821/1867)
quarta-feira, 12 de setembro de 2012
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